Mai 2020. Diplômé de l'Ecole des Beaux-Arts d'Avignon en 1994, l'artiste Stéphane Simiand développe une démarche singulière et autodidacte depuis la fin des années 1980. Il aurait pu être enseignant ou chercheur, il a préféré vivre en haut des Alpes du Queyras. Passionné par les traditions populaires et les personnages des contes et légendes, il ouvre la Barma, en 2003, une « maison outil » où se mêlent culture et tourisme. Cette Histoire se nourrit de 30 ans d'observation participante.
Avec le temps, Stéphane Simiand prend pleinement conscience de la qualité du travail de l'anthropologue Marie-Pascale Mallé qui s'attache bien à valoriser la singularité des « traces » culturelles. Par la force d'intuitions teintées d'anecdotes personnelles, d'histoires et de lieux, une œuvre prend ainsi forme puis se finalise. L'artiste n'est plus alors tenu d'en dire davantage. L'objet a désormais sa vie propre et il s'offre à la vue du regardeur, déclenche d'autres interprétations qui donneront peut-être l'envie de son acquisition.
Avec le temps, Stéphane Simiand prend pleinement conscience de la qualité du travail de l'anthropologue Marie-Pascale Mallé qui s'attache bien à valoriser la singularité des « traces » culturelles. Par la force d'intuitions teintées d'anecdotes personnelles, d'histoires et de lieux, une œuvre prend ainsi forme puis se finalise. L'artiste n'est plus alors tenu d'en dire davantage. L'objet a désormais sa vie propre et il s'offre à la vue du regardeur, déclenche d'autres interprétations qui donneront peut-être l'envie de son acquisition.